Et aussi...
En vrac... quelques autres endroits du jardin...
Le massif « chocolat » :
Juste à côté de la maison, c’est le tout premier massif que nous avons planté, après avoir à regrets fait déraciner le pin qui y poussait trop près du bâtiment, et surtout arraché la montagne de ronces qui recouvrait entièrement le vieux et tortueux cotoneaster. Au pied d’un Physocarpus diabolo au feuillage brun, nous avons placé un Pieris et un Drymis, rejoints peu à peu par des phormiums black Form, des sedum Purple Emperor et des heuchères chocolate ruffles. Une touche de rose orangé est arrivée un peu par hasard avec de graciles Watsonias. On trouve aussi une Osmanthe Burkwodii qui formait une masse un peu informe jusqu’à ce que j’ose la tailler en nuages...
La plate-bande rouge :
Près de la maison, le long d’un muret bas qui borde la terrasse, quelques petits rosiers rouges à un bout et un rose à l’autre faisaient pâle figure, noyés dans l’herbe qui poussait autour, bien difficile à tondre. En 2015, en s’inspirant des merveilleuses mixed borders anglaises, nous avons décidé de les relier dans une bordure rouge et rose, mêlant alstroemeres, hémérocalles, lupins et divers feuillages rouges (heuchères, spirée, sedums, pittosporum…).
L’ensemble a bien poussé, formant un contraste saisissant avec la vision du début !
Les fougères :
Sous la terrasse de la cuisine, une zone ombragée était difficile à tondre entre les poteaux de soutien, et donc jamais très nette. A l’été 2019 nous avons donc enlevé l’herbe, et répandu des graviers clairs sur un géotextile, pour mettre en valeur 2 lignes parallèles de Carex Evergreen et de fougères récupérées ici ou là dans le jardin, plus quand même une toute jeune Dicksonia antartica (fougère arbustive)
Plus d’entretien et un résultat assez lumineux et frais devant la fenêtre du sous-sol !